" Les traits larges et imprécis des dessins traduisent une naïveté. Aucun
personnage n’est calqué d’une page à l’autre, mais recréés de façon
aléatoire, comme une marée d’encre qui se répand et à laquelle se
juxtapose quelques détails. Le chat, par exemple, ressemble parfois à un
gribouillis, lui conférant des airs farfelus et mesquins.
L’illustratrice joue avec les contrastes, les jeux d’ombres et de
lumières d’où émerge cette immaculée Demoiselle en blanc, si délicate et
fragile. Les mots de Dominik Parenteau-Lebeuf résonnent à travers ces
dessins traduisant le monde intérieur de ce négatif qui est en train
d’imploser tellement elle rêverait d’exister. La forme du récit
s’apparente à un journal dressant les états d’âme du personnage, ponctué
de dates marquantes de l’histoire. C’est un roman dont on ne se lasse
pas de relire, car certains passages sont poétiques, évocateurs et très
touchants. Un roman indémodable, impossible à déclasser."
(Edith Malo)
Pour lire l'article complet: http://lesmeconnus.net/la-demoiselle-en-blanc-lhistoire-depuis-une-chambre-noire/
(Edith Malo)
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